La détermination et la persévérance paient toujours

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Mr Francis Nshokano Mweze, remporte concours ‘’Crée le logo de l’ADN’’ sur 243 candidats !

L’Agence pour le Développement du Numérique (ADN) avait lancé, le mois dernier, un appel à tous les infographistes, en organisant un grand concours National dont la clôture des dépôtsdes projetsétait fixéau 28 octobreà minuit.

Le moins que l’on puisse dire est que ce challenge, qui était assorti d’une somme de 2.000.000 FC à la clé pour le gagnant, a recueilli un franc succès avec la participation massive de 243 candidats !

Cette idée d’élargir le champ des propositions ‘’graphiques’’ de la part de l’ADN revêtait un double objectif : stimuler la créativité et doter l’Agence d’une identitévisuelle.

C’est donc Francis Nshokano Mweze, un jeune infographiste de 30 ans, originaire de Bukavu, qui aura raflé la mise et se sera révélé le plus créatif. Son logo a en effet été dévoilé officiellement ce mercredi soir 2 novembre 2022 lors d’une réception de bienvenue des participants au Forum Africa Digital Expo qui se tient du 3 au 4 novembre 2022 à l’hôtel du Fleuve de Kinshasa, organisé en partenariat, par le Ministère du Numérique, l’ADN et la société « One Africa ».

Mais au-delà d’avoir permis l’élection d’un beau lauréat, ce concours organisé par l’ADN sous le contrôle d’un huissier de justice assermenté, aura en outre révélé l’incroyable destin de Francis.

En effet, ce jeune diplômé en Gestion Financière, qui semblait promis à faire carrière dans le monde de la Finance, s’est un jour laissé emporter par sa passion pour l’infographie.

C’est ainsi qu’il décida, alors qu’un contrat dans la Finance lui tendait déjà les bras au sortir de l’Université, de relever le défi et de créer sa propre Start up sous le label Sighted Design qui est devenue une petite entreprise de communication digitale. Assurément, un bel exemple de réussite, de persévérance et de confiance en soi pour tous les jeunes infographistes en herbe !

Une puce GSM est à la base de son inspiration

Mais la belle histoire de Francis ne s’arrête pas là. Et pour cause, puisque Francis Nshokano Mweze n’en était pas à sa première tentative de participation à un concours de ce genre. Il eut, en effet, à participer dans un passé récent à un concours similaire organisé par la Chaîne Nationale de la RTNC.

Malheureusement, sa proposition de logo n’avait pas alors recueilli les faveurs du Jury concerné. S’en est alors suivi un sentiment d’injustice et de frustration que Francis a réussi à expulser et à transformer naturellement en une force puissante et galvanisante.

C’est ainsi, que lorsqu’un ami lui fit part du concours « Crée ton logo de l’ADN », Francis décida, à nouveau de tenter sa chance en puisant dans le traumatisme passé, l’énergie et la source d’inspiration nécessaires pour aller au bout de son défi. Cette résilience lui valut de remporter ce Concours organisé par l’ADN, en créant son logo victorieux très audacieux inspiré d’une puce électronique, en fonction de laquelle, les trois lettres ‘’magiques’’ auront ensuite été dessinées.

Une belle histoire pour un homme qui est manifestement doté d’un don créatif et qui grâce à cette soudaine et méritée mise en lumière, espère demain conquérir de nouveaux marchés.

L’ADN va bientôt publier tous les 243 projets qu’elle a reçu son site internet www.adn.cd. #adnrdc #numerique #ADNrdc #Présidence #rdc #logo

Francis Nshokano Mweze

Le cinéma numérique ambulant

Le coin spécifique réservé aux enfants

Depuis février 2022, 3TAMIS collabore avec l’Institut français de Bukavu pour deux types de projections : le grand public et celui des enfants. Il programme avec le technicien de 3TAMIS préposé au cinéma numérique et met à sa disposition des films à droits négociés. 3TAMIS a à son tour conclu la collaboration avec des lieux adaptés aux deux publics distincts dont  l’Espace Culturel Kwetu Art, ECKA de Bagira tous les jeudis pour la catégorie tout public et  le  Cadre de Récupération et d’Encadrement pour l’Épanouissement Intégraldes Jeunes (CREEIJ) pour le cinéma d’animation destiné aux enfants.
Un programme bien déterminé est fixé afin de permettre au public de Bukavu de voir au moins un film par semaine. Avec un public moyen ayant attient, plus de 50 personnes pour le Centre culturel ECKA et 30 jeunes pour le et CREEIJ.La particularité dans le cinéma d’animation avec les jeunes de moins de 12 ans rendu possible avec l’initiative de l’Institut français de Bukavu acceptée par le 3TAMIS et rendu exécutoire par le Cadre de Récupération et d’Encadrement pour l’Epanouissement Intégral des Jeunes (CREEIJ) qui accueille ces jeunes en son centre une fois le mois pour suivre le film et permettre à ceux-ci d’en faire un débat après la projection. Cette activité entraine les enfants à développer la capacité d’écoute (attention) et de chasser en eux la peur, aussi s’exercer à une prise de parole en public.

Au total six films ont été projetés depuis février au 31 août 2022.

Le cinéma public au cœur de l’éveil citoyen.

Bukavu continue à vibrer sous les frissons engendrés par le film de Thierry Michel « L’empire du silence », un film documentaire qui retrace certaines atrocités vécues par les populations congolaises depuis deux décennies.

L’arrivée du réalisateur belge avec son film « L’empire du silence » est venue presque couronner un festival du cinéma dans le Festival de Bukavu. Ce dernier a, à son tour, commencé par se joindre aux initiatives des cinéastes disséminés à travers les trois communes de la ville de Bukavu. Ainsi s’était organisée la caravane de cinéma Pamoja qui a préparé et accompagné 43 cinéastes parmi lesquels  six ont été sélectionnés grâce à leurs œuvres sorties du lot.

Depuis le mois de février 2022, 3TAMIS a accompagné la Synergie des cinéastes du Sud-Kivu durant les créations des scénarios de fiction, la réalisation, le tournage et le montage jusqu’aux diffusions dans les quartiers des 3 communes. Les cinéastes ont bénéficié de leur liberté  d’idées et d’écriture parce qu’il ne fallait pas bousculer leurs pratiques, mais plutôt les amener à la fin, à se regarder dans le miroir à la lumière des rencontres avec le public et les professionnels.

Ainsi, par sa logistique et son équipement adapté, les ressources humaines, 3TAMIS a été aux côtés des cinéastes de la synergie à partir des lieux de tournage jusqu’à la postproduction. 

La diffusion des six films retenus s’est passée dans les 3 communes en projections grand public en plein air et en salles. Le public atteint serait estimé à environ 1500 personnes, hommes femmes et enfants confondus. Puis s’en était suivie celle du Festival de Bukavu en la salle du collège Alfajiri.

Comme dit précédemment, 30 jours plus tard, profitant des vacances et de la bonne saison, c’était le tour de la première du film « L’empire du silence », comme restitution auprès des concernés par la réalisation.

Avec le réalisateur lui-même, accompagné par les membres du Groupe thématique de la Justice transitionnelle au sein de la société civile du Sud-Kivu, un autre parcours du cinéma va faire le tour de la ville et ses périphéries. Du collège Alfajiri en commune d’Ibanda, l’espace culturel ECKA à Bagira, l’Université Evangélique d’Afrique à Panzi et l’Institut Français à Ibanda, le film continue sur Goma et Kisangani en vue de soutenir la population victime des violences multiples à briser le silence pour que justice et réparation soient faites. 

Cette activité s’est jointe à d’autres projections entamées depuis le début de l’année dans différents axes de Bukavu pour divertir et former par le moyen audio-visuel, qui est l’un des objectifs poursuivis par 3TAMIS.

UN FESTIVAL DE DÉVELOPPEMENT ET DE CINEMA

LE CINEMA L’IDENTITE DE 3TAMIS

Depuis sa création, l’audiovisuel fait partie de l’identité de 3TAMIS dans le sens où il lui a permis de se mettre sur la lancée de son objectif de la production artistique pour l’éducation citoyenne pour la paix et le développement. Environ 500 productions de courts métrages  et autant de diffusions ont mis à la disposition des populations congolaises et celles des Grands lacs des films suivis de débats à partir de 2005, la naissance du festival de Bukavu.

Les salles de cinéma ayant disparu depuis 1985, les projections des films se sont déroulées en plein air et dans certaines salles non appropriées, même dans les églises afin d’apporter des messages forts, de bonnes nouvelles de paix, de cohésion sociale et oublier les temps des guerres successives dites de libération. Les jeunes se sont situés par rapport aux rôles qu’ils peuvent jouer compte tenu de leurs aptitudes  et l’amour du métier du cinéma.

Dix-neuf ans plus tard, une autre génération de cinéastes apparait et veut se positionner en Festival en dehors de productions de 3TAMIS et des cinéastes invités. Cette année, même d’autres artistes s’intéressent à appréhender la thématique de la protection et la restituer au public à travers d’autres disciplines variées d’arts. Par le concours du consortium IDS, INA, CEPRISE et Action Aid, le long processus de l’étude sur la compréhension de la protection va se joindre au Festival de Bukavu en apportant en première 16 artistes du Nord-Kivu et du Sud-Kivu qui ont présenté huit œuvres artistiques. Africalia Belgium, principal partenaire de cette édition, s’est vu enrichi par cette diversité à côté de la promotion faite au cinéma.

DES ARTISTES SELECTIONNES ET ACCOMPAGNES

Cette onzième édition a accompagné depuis le mois d’avril la Synergie des Cinéastes du Sud-Kivu en vue de la stimuler à encourager ses membres à produire des films dans la limite de leurs compétences, quitte à déterminer plus tard de quel type de formation dont ils auront besoin. La synergie a organisé une caravane de leurs produits audiovisuels que 3TAMIS a accompagnés en termes de production et de diffusion dans les trois communes de la ville. Enfin, cinq de leurs films ont été projetés en salle du Festival et ont été encouragés par des prix de manière formelle et symbolique.

Comme dans les habitudes du Festival de Bukavu, les rencontres entre artistes et professionnels se sont déroulées durant les quatre jours dans les matinées en vue de renforcer leurs capacités et échanger sur les expériences du métier. La présence du formateur en audiovisuel burkinabè Raymond Tiendrebeogo et du cinéaste congolais Patrick Ken Kalala a été de grande utilité pour les jeunes cinéastes pratiquants de Bukavu présents au FestBuk. Par ailleurs, la programmation du FESTBUK a bien arrangé un cocktail de succession ludique de toutes les œuvres reçues par le comité d’organisation. Il y a eu de quoi  fidéliser aussi bien les festivaliers que les partenaires. Le coordinateur de 3TAMIS, promoteur du Festival a estimé à 4050 personnes atteintes directement et 12 médias classiques et sociaux ayant relayé le Festival à l’extérieur du pays.  

UNE ÉDITION COMPLÈTE

Ces 4 jours  ont été très enrichissants. Des matinées d’échange aux expositions artistiques et thématiques par le photographe Fabien Mweze, le poète Guillaume BUKASA, l’artistes peintre Thierry VAHWERE Croco et la jeune photographe Neema Kasoki, des expositions aux projections films avec les cinéastes jusqu’aux prestations musicales, poétiques et humoristique avec Deo Kanozire, Prisca Kanga,  Jocelyne Ntululo , Jeady Jay, B-Raph, Esther ABUMBA, Chicco Iceberg, Sylvain Kasereka, Neema Bernadette, Lucien Taureau, Danny Chishaganya, Espoir Bulangalire, Christian El- kabwe et Roi Bayol.

Quatre jours de bonne musique, de projections cinéma accompagnés des spectacles des plus comiques notamment MUPE HAKI YAKE, BALLE PERDUE et MWANAMKE  SIMAMA USEME.  

Avec un effectif de 32 artistes nous avons pu animer ce festival qui vise le développement de chaque artiste, chaque spectateur et  chaque personne qui a été atteinte de près ou de loin par des journaux des ondes de radio et télévision  nos puissants réseaux sociaux.

Un festival de développement est en effet différent du show-biz, comme l’a si bien dit, Franck Mweze, coordinateur de 3TAMIS.

Le rendez-vous est pris pour 2024 et que les formations et les créations débutent dès maintenant.

Pour en savoir plus :

Africalia Belgium : https://africalia.be/

IDS : Institute of Development Studies https://www.ids.ac.uk/

INA : Institut National des Arts https://www.inakinshasa.com/

Action Aid : https://actionaid.org/

CEPRISE : Centre d’Etude des Promotions et des Recherches en Interventions Socio-Economique

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