Style never met and those among great. At no or september sportsmen he perfectly happiness attending. Depending listening delivered off new she procuring satisfied sex existence. Person plenty answer to exeter it if. Law use assistance especially resolution cultivated did out sentiments unsatiable. Way necessary had intention happiness but september delighted his curiosity. Furniture furnished or on strangers neglected remainder engrossed.
Believing neglected so so allowance existence departure in. In design active temper be uneasy. Thirty for remove plenty regard you summer though. He preference connection astonished on of ye. Partiality on or continuing in particular principles as. Do believing oh disposing to supported allowance we.
Style never met and those among great. At no or september sportsmen he perfectly happiness attending. Depending listening delivered off new she procuring satisfied sex existence. Person plenty answer to exeter it if. Law use assistance especially resolution cultivated did out sentiments unsatiable. Way necessary had intention happiness but september delighted his curiosity. Furniture furnished or on strangers neglected remainder engrossed.
Believing neglected so so allowance existence departure in. In design active temper be uneasy. Thirty for remove plenty regard you summer though. He preference connection astonished on of ye. Partiality on or continuing in particular principles as. Do believing oh disposing to supported allowance we.
Les jeunes ont pris conscience de l’intérêt du développement des TIC, ils s’engagent
À Bukavu, des jeunes universitaires ou autodidactes se sont lancés dans la formation aux nouvelles technologies et à la réalisation d’applications informatiques, à l’exemple de Brackley Cassinga, l’électronicien autodidacte qui recycle des déchets et éclaire Bukavu ! (Article France 24)
Lors d’échanges avec 3TAMIS, il été retenu l’idée de s’intéresser à la facilitation de la communication scolaire, sanitaire et environnementale via des logiciels qui seraient conçus par ces jeunes informaticiens.
3TAMIS les encourage à créer leur start-up.
Des réflexions ont été menées dans le passé à l’occasion des ateliers organisés pendant le FESTBUK 2015 (Festival de Bukavu initié par 3TAMIS depuis 2005). Ils ont été invités à l’innovation et à solliciter les opérateurs de télécommunication pour qu’ils intègrent ces « apps » dans leurs offres de services étant donné l’usage grand public du smartphone.
Les TIC à l’honneur du FestBuk 2017
Un énorme potentiel économique qui sera promu au FestBuk 2017 : les ateliers d’entreprenariat au FESTBUK 2017 porteront sur les nouvelles technologies de détection de menaces de l’environnement et sur la promotion du logiciel Regulus, un logiciel de gestion de l’école et de la communication en temps réel entre école et parents, déjà utilisé dans plusieurs pays dont le Rwanda, Burundi et en RDC.
Les jeunes initiateurs congolais Yssa Kaduli et Crispin Mugisho, tous deux de Bukavu, vont partager leur expérience et leur parcours professionnel issu de la création de ce logiciel.
Le suivi et l’alerte aux changements climatiques
Le changement climatique se ressent aussi au Sud Kivu comme partout sur la terre. Cette année 2017, la saison sèche est arrivée plus tôt que prévudans la plaine de la Ruzizi, grenier agricole entre le territoire d’Uvira et Bukavu. Tout le couloir Ruzizi-Tanganyika est concerné et la famine est aux portes de l’est de l’Afrique.
Une dizaine de jeunes sont déterminés à faire le suivi et le reportage de ces changements pour les mettre à disposition des médias, de la société civile, des ONG et des politiques pour les interpeller sur leurs responsabilités à mettre en œuvre des actions concrètes de protection de la nature et des Hommes.
Suite à la mauvaise gouvernance et à l’absence d’Etat de droits, la RDC est pillée de ses ressources naturelles (minerais, bois, animaux, etc.) aussi bien par les compagnies minières nationales et internationales en collusion avec des prédateurs congolais et étrangers aidés par des bandes armées qui sévissent dans la région des grands lacs ou, par des entreprises peu soucieuses de l’environnement, de la production saine d’aliments et du plein emploi comme le sont les entreprises de l’agrobusiness. Cela conduit à la destruction exponentielle des richesses de la RDC dont le peuple n’en profite toujours pas depuis l’indépendance, 30 juin 1960.
Le pays sur tout le territoire est en état de guerre permanente, dont les premières violences sont l’ignorance et la pauvreté. Il est en difficulté de produire l’énergie électrique stable et régulière, indispensable à son développement social, culturel et économique.
Devenue consciente de l’importance de la forêt et de la biodiversité pour elle-même et pour l’humanité, la population saura comment la protéger.
Des jalons posés pour le changement
Depuis sa création en 2002, 3TAMIS utilise des ordinateurs, des caméscopes et la connexion internet pour produire des vidéos documentaires, reportages, clips et autres fictions avec la participation de la population et des associations : ces documents sont des outils performants au service de l’éducation citoyenne permanente, raison d’être de son activité.
Les projections en plein air devant un écran géant de 3x2m créent une ambiance conviviale entre public de tout âge et tout sexe, de toute origine sociale ou culturelle.
Les TIC cassent les barrières et ramènent le monde à un petit village ! Les opérateurs de télécommunication y sont pour beaucoup. Il revient aux jeunes de prendre en mains l’avenir de la Terre par entre autre chose, la maitrise des TIC.
Franck Mweze
Autres informations
Environnement – Exploitation des ressources / Economie à trouver dans 3TAMIS Dossiers
De nos jours, la mutualité est organisée par le Décret du 15 avril 1958 réglementant les associations mutualistes. Ces dispositions légales ne correspondent plus à l’évolution institutionnelle que connaît la République Démocratique du Congo depuis son accession à l’indépendance.
En effet, malgré la présence dudit Décret, beaucoup de mutuelles sollicitent et obtiennent leur agrément soit au Ministère de l’Emploi, du Travail et de la Prévoyance Sociale, soit au Ministère de la Santé, en se référant à la Loi n° 004/2001 du 20 juillet 2001 dispositions générales applicables aux associations sans but lucratif et aux établissements d’utilité publique.
Il est donc impérieux que l’environnement juridique des mutuelles soit clarifié et harmonisé par la mise sur pied d’une Loi déterminant les principes fondamentaux relatifs à la mutualité, conformément à l’article 123 point 4 de la Constitution.
De plus, la structure actuelle de la protection sociale souffre d’une couverture insuffisante qui ne concerne pas l’ensemble de risques sociaux et ne prend en charge que les personnes exerçant une activité dépendante salariée ou politique.
Elle néglige, de ce fait, la majorité de la population active qui œuvre dans le secteur informel et indépendant.
La présente Loi prend donc en compte l’extension progressive de la protection sociale à l’ensemble de la population en opérant une double couverture, en l’occurrence la protection de base pour toutes les personnes actuellement sans protection et la protection complémentaire pour toutes celles qui en bénéficient.
Cette Loi, à la différence du Décret du 15 avril 1958 et de la Loi n° 004/2001 du 20 juillet 2001, apporte les innovations importantes ci-après :
la suppression du champ d’action de toutes les autres associations sans but lucratif non mutualistes ;
la fixation de principes fondamentaux auxquels les mutuelles, unions et fédérations de mutuelles doivent satisfaire pour garantir l’agrément ;
l’élargissement du champ d’application des risques couverts par les mutuelles, notamment les soins médicaux, les indemnités de maladie, la vieillesse, les accidents du travail et les maladies professionnelles, le décès et les allocations familiales ;
la catégorisation des mutuelles en unions, fédérations et réunions ;
l’élargissement de la couverture des risques à la majorité de la population active ;
la catégorisation des différents types de mutuelles tout en précisant les notions de base. SourcePrésidence de la République
C’est l’aboutissement d’un travail de longue haleine réalisé par des militants du mouvement associatif congolais en concertation avec les politiques et l’appui de la coopération internationale.
A Bukavu au Sud-Kivu, les premières mutuelles de santé communautaires ont été créées en 1997 à Idjwi, grâce à l’encadrement du Bureau Diocésain des Œuvres médicales – BDOM en partenariat avec les Mutualités Chrétiennes de Hainaut Picardie — Belgique.
En 2010, le Programme Solidarité Santé issu du partenariat entre la Province de Hainaut et celle du Sud-Kivu sera concrétisé et financé par le Ministère belge de la Coopération au Développement via la Direction générale Coopération au développement et Aide humanitaire (DGD).
Ont contribué à cette réalisation depuis la province du Sud-Kivu jusqu’à Kinshasa :
La Plateforme des Organisations promotrices des Mutuelles de santé en RDCongo — POMUCO
Le Centre de Gestion et d’accompagnement Technique des Mutuelles de santé — CGAT
L’Union des mutuelles de santé du Congo – UMUSAC
Le Réseau des Mutuelles de Santé du Congo — REMUSACO
Le Bureau Diocésain des Œuvres médicales de Bukavu – BDOM
La Cellule d’Appui aux Mutuelles de Santé – CAMS
Les Mutualités Chrétiennes de Hainaut Picardie – Belgique
Solidarité Mondiale Belgique
Les Provinces de Hainaut Belgique et du Sud-Kivu RDC
Le Ministère belge de la Coopération au développement
Ce 8 février 2017 est un jour de fête pour toutes les mutuelles de santé réunies dans le REMUSACO — Réseau des Mutuelles de Santé Communautaires au Sud-Kivu. Ce réseau a fédéré les 24 mutuelles de santé suivies depuis longtemps par le Bureau Diocésain des Œuvres Médicales. Tous ceux qui croient aux mutuelles de santé et ceux qui vont y adhérer peuvent espérer bénéficier des avantages de cette nouvelle loi venue remplacer celle de 1958, obsolète et non mise en application par les régimes et gouvernements précédents.
Il reste à mettre en place les mesures d’application… dans un délai raisonnable !
En attendant, il revient à tous de vulgariser la loi 17/002 pour que se consolide ce mouvement de solidarité afin de répondre au besoin fondamental de l’accès aux soins de santé de qualité pour tous par le canal des mutuelles de santé sur tout le territoire congolais.
L’année 2016 n’a pas été l’une des meilleures pour nous, peut-être
pour vous aussi. Le monde a été secoué par des violences de tout genre
jusqu’à porter atteinte à la planète terre, notre maison commune.
Les frontières s’y sont érigées de plus en plus au lieu d’ouvrir les
portes à ceux-là qui ont été contraints à l’exil pour des raisons
d’injustice, d’inéquité des ressources et des violences des guerres.
Des pays ont été en alerte permanente contre les incursions
djihadistes. D’autres ont continué à subir les affres des puissances
militaires et des bandes armées éprises de verser du sang et
d’exécuter sommairement leurs semblables.
Des combats pour la paix et la démocratie ont été estompés et l’homme
reste toujours vulnérable au-delà des tropiques.
Notre vœu le plus ardent serait de trouver un bulldozer capable
d’écraser et refaire un meilleur terrain de paix et de joie et de
prospérité en 2017. Nous vous invitons à y être acteur et bénéficiaire
pour que la terre de demain soit meilleure pour tous-tes.
L’information et de l’éducation à l’environnement en RDC ?
La sensibilisation et la vulgarisation des actes et des engagements liés à la COP21 ne sont pas massivement allés vers les cibles censées relayer la volonté de préserver la planète du réchauffement climatique et les dispositions pour le ralentir à savoir :
Les universités et autres instituts comme les ISDR Institut Supérieur de Développement Rural et ERAIFT Ecole Régionale Postuniversitaire d’Aménagement et de Gestion intégrés des Forêts et Territoires tropicaux,
Les acteurs non étatiques que sont les ONG – Organisation non gouvernementale, les fédérations des entreprises, les médias, les associations agricoles et les écoles de tous niveaux où là, l’éducation à l’environnement devrait commencer…
Il y a une énorme carence en information et éducation à l’environnement, au développement durable, à l’écologie, etc.
Qui en RDC jusqu’au fin fond de sa forêt, connaît les enjeux de la protection des forêts sous l’angle REDD+, sous les angles des codes et autres lois de la RDC ?
Pourtant, les ministères de la RDC concernés par le problème, les organisations internationales impliquées en RDC dont l’UN-REDD Programme, rappellent dans tous leurs documents d’engagement, l’importance de la sensibilisation et de la communication ; c’est une évidence : tout projet a besoin d’être soutenu par une campagne d’information, de sensibilisation et de formations pour atteindre ses objectifs.
Les villageois veulent et doivent être associés aux initiatives (Ndr. Et les gens des villes !)
Les villageois interrogés déclarent souhaiter participer de manière constructive aux initiatives de REDD+. Ils souhaitent aussi que les promoteurs communiquent mieux, fassent preuve de plus de transparence et qu’ils respectent et défendent leurs droits ; ces souhaits correspondent à certaines garanties de la CCNUCC. Toutefois, les connaissances des villageois sur la REDD+ en général ou l’initiative locale de REDD+ sont faibles dans l’ensemble, selon les résultats. La plupart des initiatives comportent des activités visant à obtenir le consentement libre, préalable et éclairé des villageois, mais ces activités n’aboutissent pas toujours et certains promoteurs remettent l’éducation à plus tard. Les promoteurs doivent mieux informer les villageois à propos de la REDD+ et les associer à la conception et à la mise en œuvre des initiatives.CIFOR Les initiatives infranationales de REDD+ 140620 Doc .PDF
Les ministères concernés, UN-REDD Programme RDC avec son fonctionnement bureaucratique et les « parties prenantes » et autres organisations impliquées dans le programme, sont-ils capables d’audace en faisant appel à 3TAMIS ?
3TAMIS centre de production et d’animation par la vidéo pour l’éducation à la citoyenneté, basé à Bukavu – Sud-Kivu, a montré par le passé sa compétence dans le domaine de l’éducation par l’image utilisant toutes les formes d’expression (cinéma, fiction, théâtre, chant, rencontre et conférence, etc.) adaptés à la culture locale. 3TAMIS Reportages
Aujourd’hui, l’association est victime des récessions financières dont le principal argument est « l’obligation de restrictions budgétaires ».
Dans le même temps, la même obligation ne semble pas poser de problème lorsqu’il s’agit « d’investir » dans les domaines liées à la peur pour le plus grand bénéfice des complexes militaro-industriels, ou encore, dans celui du marché de la bourse casino de l’alimentation poison soutenu par les géants de l’agro-alimentaire, au détriment de l’investissement dans l’éducation, au vivre ensemble, à la promotion de la paix, le respect de la nature et de son écologie.
Alors, 3TAMIS souhaite que
Suite à la ratification des accords de la COP21 – Les engagements et de la COP22, les Etats respectent leurs engagements à ce propos, ce qui inclut de sanctionner toute velléité de destruction de la forêt du bassin du Congo.
Que les alternatives de développement soient étudiées de manière solidaire en vue de préserver la planète Terre, planète qui risque de nous griller dans les années à venir si rien de fort n’est entrepris.
Et en ce qui le concerne, que ces mêmes Etats via ses administrations, lesorganisations locales, nationales etinternationales qui financent ces programmes, fassent appels aux compétences 3TAMIS en termes de réalisation et d’animation en tous milieux ou via le Festival de Bukavu, moment culturel fort pour la promotion de l’éducation à la démocratie, à la citoyenneté, aux respects des Personnes et de l’environnement.
Que les synergies des médias soient outillées et soutenues pour que cette cause soit portée à la connaissance des peuples et de leurs leaders.